"أما دمويته «الكانيبالية»، فبلغت أوَجَها في علاقته بالنسوة، اللواتي كان ينقضّ على بعضهن عضاً و«نتشاً»، وقد وقعت نسوة كثيرات كالفريسة بين أنيابه، وكان يغطي الفضيحة بالمال، إن أمكن. ولعل الفضيحة الكبرى ، أن القذافي كان ثنائي الهوية الجنسية، شاذاً، وفي شذوذه نفسِه كان مزدوجاً، إيجاباً وسلبا...
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dimanche 16 décembre 2012
القذافي بين طبل غسان شربل وكمنجة عبدو وازن
"أما دمويته «الكانيبالية»، فبلغت أوَجَها في علاقته بالنسوة، اللواتي كان ينقضّ على بعضهن عضاً و«نتشاً»، وقد وقعت نسوة كثيرات كالفريسة بين أنيابه، وكان يغطي الفضيحة بالمال، إن أمكن. ولعل الفضيحة الكبرى ، أن القذافي كان ثنائي الهوية الجنسية، شاذاً، وفي شذوذه نفسِه كان مزدوجاً، إيجاباً وسلبا...
lundi 2 juillet 2012
هل كان مبارك وأذنابه يعرون عبد الحليم قنديل ؟
mercredi 13 juin 2012
إنه الجزائري يامغاربة فجوعوه واقتلوه
vendredi 8 juin 2012
عامان حبسا نافذا لامرأة صرخت: واملكاه
mercredi 2 mai 2012
غصة الأسى في عيني فتاة الفيسبوك
lundi 23 avril 2012
Marine Le Pen: "Au secours, le Halal nous envahit"
Zahia est musulmane, donc, Halal !
Ainsi, le Halal n’est plus un mot exotique mais un véritable étendard culturel. La meilleure des confirmations n’est-elle pas l’anecdote suscitée au lendemain de la mésaventure qu’a eu Ribery avec une certaine Zahia.
Rappelons d’abord l’arrière fond, qui éclaire l’anecdote et qui est illustré par ce spot publicitaire. Un sympathique religieux vantant les mérites de cette marque célébrissime depuis «Des pattes, oui! Mais des pattes Panzani» !
À l’instar de ce religieux. Ribéry, le Footballeur français, est vivement interpellé par un de ses fans. Celui-ci, au comble de l’exaspération le secoue vertement : «Mais comment, tu te permets cet acte d’adultère avec cette prostituée ?» Et le novice, fraîchement converti à l’Islam, répond avec l’air d’un enfant effarouché. «Une P... oui mais une P... halal ! Puisqu’elle est musulmane» et toute la France hexagonale et au-delà, s’esclaffe.
Le Halal : « le licite par excellence »
Fallait-il que le marketing s’en mêle pour que l’islam acquière et droit de cité et lettres de noblesse? En secouant ses préjugés, le marché écarquille les yeux. Il découvre une communauté, qui tout en étant fière de sa francité, est parfaitement enracinée dans son identité d’origine. Une communauté dont la potentialité culturelle ne peut que se traduire par une potentialité de consommation. Et du coup, le Halal se révèle le nerf de la guerre par excellence.
A titre d’exemple, le ramadan n’est pas un simple événement religieux mais surtout une opportunité commerciale. On lance toutes sortes d’études de marché qui confirment toutes, si besoin en est, que les produits Halal représentent la somme pharamineuse de six milliards d’euros.
Mais, les statistiques ne s’arrêtent pas là. Loin s’en faut, leur conclusion pulvérise tout un tas de clichés. N’a-t-on pas claironné sur tous les toits que l’islam n’a aucun avenir en France, qu’à la troisième génération aucun petit beur et aucune petite beurrette ne manifesteraient le moindre intérêt pour ces «pratiques d’un autre âge».
N’en déplaise à une extrême droite et aux adeptes d’une « civilisation supérieure » le marketing armé de ces conclusions assène des vérités dures à avaler. Étude à l’appui, il nous apprend que la consommation des produits halal a été multipliée par vingt au cours des dernières cinq années, et que le taux de croissance annuelle de la demande halal est appelé à atteindre 20%.
L’enjeu est donc de taille, le Marketing qui n’a que faire des stéréotypes appauvrissant prend la question à bras le corps. Il s’intéresse de près au phénomène. Il le sort du miasme de l’enfermement et il invente le marketing spirituel.
La sauce halal est dans tous les plats
Le magazine marketing y consacre un numéro spécial. Les journaux, et à leur tête le Monde ouvrent leurs colonnes en analysant et en interrogeant, afin de déceler à travers tout cela, les nouvelles tendances de l’évolution d’une communauté française par le sang et musulmane par le cœur !
Pour conclure: la consommation du Halal n’exprime nullement l’adhésion à une bigoterie quelconque, comme le prétendent certains illuminés de la politique politicienne. Le Halal permet tout simplement de vivre une spiritualité, renouer avec un imaginaire, une odeur et une certaine saveur. Mais surtout, il permet de retrouver une religion, celle-là même, qui est constamment sollicitée pour retrouver un équilibre et décoder le sens d’un enrichissement.
Bref tout cela, indique que l’islam s’enracine en France pour devenir partie intégrante de son environnement ! Mais attention, de quel Islam s’agit-il ? Ce n’est nullement l’islam des obscurantistes. Mais l’Islam de l’amour, de la tolérance. L’islam qui s’inspire de la philosophie des lumières pour se projeter vers un Dieu qui est, lui-même, Noor Assamawat Wa Alard c’est-à-dire «Lumière des cieux et des terres» comme l’affirme le Coran.
samedi 21 avril 2012
Salwa Akhannouch, Morocco Mall et les jolies cuisses de J. Lopez
Salwa akhannouch ne fait pas dans le détail. Quand elle a appris que les journalistes marocains sont devant le portail de "Morocco Mall", le jour de son inauguration, elle ne pouvait contenir sa colère, en s'écriant : "Mettez moi ces pouilleux dehors ! Comment cela? Ces petits marocains veulent être admis et côtoyer le beau monde de la presse européenne! Quelle indécence !"
Le mépris de soi
Certes, le mépris de soi, comme la dévalorisation de sa propre culture expriment une aliénation et une crasseuse ignorance. Ils renvoient à un dispositif, qui ne fonctionne jamais en dehors d'un imaginaire pétri de préjugés et de clichés désuets. Pour disséquer tout cela, disons que la dévalorisation de soi, va de pair avec la revalorisation de l'autre. Mais quel autre? Celui-ci est soumis à une hiérarchisation où le moi occupe le rang le plus bas de l’échelle.
Dans ce cas spécifique qui nous intéresse, l'autre, est l'Européen par excellence. Celui-là même qui fascine Salwa, à la folie. Ne se teint-elle pas souvent les cheveux en blonde ? N’a-t-elle pas recours à toutes sortes d'artifices pour échapper à une physionomie trop Baldiyya ! Afin de ressembler ne serait-ce qu'un instant à son idole adorée ?
Une stratification de rigueur
Notre Européen est certes beau. Mais cette beauté n'est pas absolue. Elle est soumise à une appréciation stéréotypée, donc stratifiée comme suit :
- Le premier rang est occupé par les Américains ! Ne sont-ils pas les maîtres du monde ? Ne sont-ils pas les géants Hollywoodiens, qui déploient puissance et rayonnement à travers l'univers ?
- Le second rang est occupé par les Français! Ne sont-ils pas les anciens colonisateurs? Ne sont-ils pas eux, qui ont introduit raffinement et civilisation à notre contrée sauvage ?
- Le troisième rang est occupé par les Espagnols ! Ne sont-ils pas eux, qui ont réduit tout le nord du Maroc à leur hégémonie salvatrice ? N’ont-ils pas pulvérisé les hordes barbares d'un certain rebelle notoire qui s'appelait Abdelkrim?
L'infériorité marocaine
Après ce beau monde, synonyme de progrès, de confort vient le monde marocain aussi grossier que sous-développé, mais, soumis néanmoins à une hiérarchisation. Comme le souligne, à juste titre, le proverbe marocain, « Il ne faut pas mélanger les serviettes et les torchons ».
Dans ce monde, le premier rang est occupé incontestablement par les francophones Fassis. Ne sont-ils pas assimilables aux Européens? N’ont-ils pas le même teint angélique frais et rose ? Le même accent chatoyant ? La même condescendance envers leurs frustes concitoyens?
Le deuxième rang est occupé par les Chlouhs et les Aroubi francophones. Ceux-ci sont tolérés, surtout, parce qu'ils écrivent et s'expriment dans la langue sublime de Molière. Même si certains d'entre eux écorchent nos oreilles sensibles en roulant honteusement le R !
En bas de l'échelle, nous avons les arabisants. Tous ceux qui n'écrivent et ne parlent que cette langue arrrabe: il s’agit de tous ces Fassis, ces Chlouhs et ces Aroubia ! Toute cette plèbe dont il faut se préserver. Surtout ne la laisser en aucune façon s'introduire dans l'enceinte de cet édifice prestigieux, dressé à la gloire de l'oncle Sam: Ne porte-il pas en signe d'allégeance et de sujétion le nom : " Morocco mall "?
On peut dire que notre richissime Princessa en mettant sans ménagement les journalistes marocains dehors, a certainement manqué de ce "savoir vivre" caractéristique, de ceux qu'elle admire béatement.
Cependant, notre sémillante Princessa mérite largement d'être excusée. Ne nous a-t-elle pas offert J. Lopez, cette époustouflante beauté, qui pour la modique somme d'un milliard nous a gratifié non seulement de cette enivrante transe" Jedba " ! Mais surtout elle nous a montré ses illustres fesses !
À travers J. Lopez, notre Salwa a généreusement offert à toutes les femmes marocaines soumises et arriérées un modèle de libération sexuelle. Les hommes à leur tour, ne sont pas laissés pour compte. Loin s'en faut. Elle a offert à ceux-ci de quoi entretenir les fantasmes les plus extravagants, et enclencher les masturbations les plus enflammées.
mercredi 18 avril 2012
Qardaoui déclare : A bas Zemzmi, vive les femmes et le sexe
Véritables fatwa ou tripatouillage salace?